Éric Poisson, Annie Guertin, Isabel Charron, Roger Paquet (PDG du CSPQ), Sophie Martel-Genest, Marie Roy, Sonia Montambault, Hugo Larose.
Le phénomène de la radicalisation menant à la violence génère une inquiétude grandissante sur la scène internationale. Le Gouvernement du Québec et l’UNESCO ont donc convenu de tenir une conférence internationale sur le thème de la radicalisation – Internet et la radicalisation des jeunes : agir, prévenir et vivre ensemble. La conférence a été une occasion de confirmer la position de leader du Québec et de jouer un rôle actif dans la réflexion mondiale sur le phénomène. Pour le ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRIF), l’organisation d’un rassemblement d’une telle envergure était une première. Tout était à apprendre et à faire. La Direction des communications et des affaires publiques a disposé de seulement sept mois pour remplir son mandat; un délai très court. Les premières actions de communication ont rapidement pris place avec une stratégie misant principalement sur les médias sociaux et le Web, une façon efficace et peu coûteuse de joindre les publics québécois et étrangers, spécialisés comme généraux. Ce rendez-vous a aussi été le théâtre de sept conférences de presse et de multiples points de presse. Ces activités ont réussi à créer un engouement autour de la conférence et ont permis de positionner les grands messages. L’impressionnante couverture de presse (plus de 350 mentions recensées) témoigne, en outre, du retentissement de la conférence au Québec comme à l’étranger. L’expertise et l’engagement du Québec ont sans contredit rayonné sur la scène internationale. Globalement, la conférence Québec-UNESCO est une réussite pour le MRIF, qui l’a organisée de A à Z, et en particulier pour sa Direction des communications, qui a fait preuve d’innovation et qui a montré toute l’efficacité, la réactivité et la mobilisation de son équipe dans la tenue d’une activité extrêmement complexe.
Isabel Charron
Josianne Fortin